A Abidjan, j’ai vu la congolaise Chantal Faida et le sénégalais Coach

Article : A Abidjan, j’ai vu la congolaise Chantal Faida et le sénégalais Coach
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9 juillet 2014

A Abidjan, j’ai vu la congolaise Chantal Faida et le sénégalais Coach

Voilà un souvenir marquant que je voulais depuis partager avec vous. Ma rencontre avec la blogueuse congolaise Chantal Faida et le sénégalais Cheikh Ibrahima Fall alias Coach . C’était à Abidjan lors de la 3e édition de mondoblog, une compétition dont la quatrième édition est lancée depuis le 1 juillet 2014.

Lors de ces échanges j’ai été marquée par ma rencontre avec ces deux ressortissants  : un parcours d’homme et de femme, l’un animateur, l’autre blogueuse. C’est en étant très enrhumée que j’ai réalisé ces deux entretiens pour mieux saisir la passion de ces deux personnages. L’un apporte son appui à la communauté sénégalaise au pays de Gohou , l’autre milite par sa plume pour la défense des femmes notamment celle de Goma, la ville qu’elle chérit tant. Coach pour qui la langue est une force culturelle nous fait découvrir ses années de séjour en terre ivoirienne:

Je me suis entretenue avec Chantal avec le jardin de l’hôtel Téreso à quelques secondes des vagues de grand Bassam,pour parler de la République démocratique du Congo (RDC). Un pays doté de véritable ressources humaines mais secoué en permanence par des rébellions . Malgré cette triste réalité, la blogueuse Chantal garde espoir quant au redressement de ce pays qui peut être le poumon de l’Afrique s’il est stabilisé.

Chantal et Coach deux personnes que j’ai été heureuse de connaître dans le cadre de la 3e saison de la plateforme Mondoblog:

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Commentaires

DEBELLAHI
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Elle était remarquable Chantal, comme tu l'étais toi aussi, Awa, notre malienne nationale. Chantal inspire confiance, et vous donne l'impression de l'avoir connu depuis toujours. Bon courage Awa.

Il ne fera pas de mal à un Mondo de faire un tour chez moi : https://générationindépendances.com/

Traoré Awa
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merci mon frère,la situation des femmes de goma m'avait touché, sinon je visiterai avec plaisir générationindependances par ta plume.